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Recrafteur

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Recrafteur
25 avril 2013

Il s'appelle Tweety Qube

 

 

...et c'est la dernière créature qui vient de sortir de l'atelier de Mme Recrafteuse !    

 

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Modeste, elle avoue s'être inspirée de modèles similaires trouvés en ligne, mais en tout cas, celui-ci est unique !   Et moi il me plait beaucoup. Depuis sa naissance, il est assis gentiment sur mon bureau et me gratifie de son regard bienveillant !

 

D'autres photos :

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Vos commentaires sont les bienvenus comme à chaque fois !

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31 décembre 2012

Bonne Année !

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29 décembre 2012

Un support pour mon téléphone

Je cherchais à fabriquer depuis quelque temps un support pour Samsung Galaxy Note.

SamsungGalaxyNoteIIGooglePlay

J’ai installé une application qui fait radio réveil des années 80, et je voulais qu’il tienne à la quasi-verticale pour que je puisse voir l’heure. C’est aussi pratique pour regarder une vidéo, ou des photos, voire pour se prendre en vidéo en train de faire des grimaces (indispensable non ?) car les gens de Samsung ont gentiment mis un double objectif.

J’ai donc été voir sur le Net ce que la communauté proposait comme solution, étant donné que la seule chose qui me venait à l’esprit était un support pour assiette en bois un peu encombrant comme celui-ci :

support_assiette_credit_Scrapmalin_com

Crédit photo: scrapmalin.com

J’ai d’abord trouvé cette vidéo un peu ancienne (ça se voit tout de suite au bijou de technologie moderne présenté….) :

J’ai donc essayé avec un CD d’installation de Wanadoo vieux d'au moins 10 ans déjà….et j’ai cassé le CD très vite, sans parler des dimensions qui semblaient plus adaptées à un Nokia 3310 qu’à ma phablet (si, si, je vous jure, ça s’appelle comme ça un téléphone/tablette !)

J’ai ensuite trouvé des idées basées sur des boitiers de CD, mais il me manquait du tapis antidérapant…

J’ai donc tenté avec le boitier (type DVD) du Wanadoo susnommé…mais l’angle n’était pas idéal et c’était cette fois un peu…comment dire…imposant.

Et puis en cherchant un autre boitier sur mon étagère je suis tombé sur :

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Un écrin de parure de stylo de luxe que ma belle fille m’avait donné il y a quelques années en me disant qu’elle n’en avait pas besoin. Avant que vous ne versiez une larme, sachez qu’elle m’avait donné en cadeau de Noël le même écrin avec un stylo bille et un porte-mine dedans ! 

Boite_ouverte

Et en essayant, je me suis aperçu qu'en plaçant le portable à l'intérieur, l’angle était le bon, et même encore plus stable en retirant le fond et la documentation Sheaffer. Je venais de construire mon support de téléphone en…30 secondes chrono. Une boite inutilisée devient support de table. Bel exemple d'upcycling.

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Et en plus, cela reste discret quand on le referme.

Dans le même élan, j’ai mis la main sur un écrin de montre blanc, idéal pour le Galaxy Note blanc de Mme Recrafteuse ! Et voici un deuxième support.

Si vous aussi vous avez réalisé un support de téléphone ou de tablette, n’hésitez pas à mettre un lien en commentaire ci-dessous, que j’aille voir !

2 novembre 2012

Un podium pour le lave-linge

Je vous entends déjà, fidèles lecteurs et puristes du recraft : ce billet parle certes de bricolage, mais ce n’est pas du recraft.

Je ne peux pas vous donner tort ; en volume de matériaux, le pourcentage de neuf par rapport au recyclé est défavorable à l’environnement. Néanmoins, en utilisant comme tasseaux une planche de pin restant d’un précédent projet  et par ailleurs un panneau d’aggloméré et une planche de MDF, tout deux faits de déchets de bois, le bilan est raisonnable.

Et d’autre part, j’espère que par les moteurs de recherches, ce billet aidera ceux qui sont face au même problème que moi. À savoir : isoler du sol une machine à laver qui, lorsqu’elle essore, communique ses vibrations à tout l’étage…

 budanderie_avant

C’est Mme Recrafteuse, comme souvent, qui a eu l’idée de faire ce podium pour lave-linge. L’idée était de répartir sur 3 murs les vibrations de l’essorage uniquement absorbées par le plancher en bois.

Devant mes réserves quant à la solidité d’une étagère basse uniquement suspendue à 3 murs (dont 2 uniquement faits de placo) nous sommes mis d’accord pour faire reposer les tasseaux sur le plancher et de les fixer au mur également.

J’ai donc utilisé ma scie circulaire de table pour fendre dans la longueur une planche de pin stockée dans l’atelier, ce qui m’a donné deux beaux tasseaux d’environ 3cm d’épaisseur sur 10 cm de hauteur.

scie_circulaire

tasseaux_1

tasseaux_finisLe fond de la buanderie accueillant, en toute logique l’arrivée d’eau et l’évacuation du lave-linge, j’ai fixé au mur deux petits morceaux de tasseaux de chaque côté.

J’ai utilisé à la fois des chevilles pour matériaux pleins et de longues vis, sur le mur droit qui est fait de plaques de plâtre collées sur un mur en brique, et des chevilles à frapper et type Molly pour les deux autres murs en placo. Le résultat n’est pas optimal avec les « type Molly », même si je ne sais pas si cela tient à la qualité du plâtre (posé par la précédente propriétaire) ou à la qualité de mes chevilles (ersatz de Molly). Et j’ai dû en plus me contenter de ma (lourde) perceuse comme visseuse pour cause de panne de chargeur de visseuse…

J’ai coupé mes tasseaux latéraux 20 mm plus courts que la planche pour pouvoir mettre une planche de MDF en façade pour boucher la cavité et éviter ainsi un nid à peluche !

 

d_coupe_plancheplanche_pos_epodium_termin_podium_peint_2

J’ai ensuite posé la machine à laver sur 2 tapis amortisseur (en matériaux recyclés)…et avec difficulté vu le poids, et le peu d’espace pour manœuvrer.

lave_linge_pos_

Et le résultat est concluant ! Même un essorage à 1200 tours ne fait plus vibrer du tout le 1er étage. Un ingénieur à qui j’en ai parlé hier m’a dit que cela tenait plus à la «flexibilité » de la planche d’aggloméré hydrofuge qu’à la répartition des charges sur les murs. Mais le principal est que cela fonctionne.

Dans la foulée, pour des raisons pratiques, nous avons décidé de mettre sur une étagère le sèche-linge (auparavant posé sur le lave-linge).

Etant donné que le sèche-linge est plus léger, et tourne moins violemment, des tasseaux d’environ 2x2 cm (qui trainaient dans  mon atelier) ont fait l’affaire. Fort de l’expérience du podium, j’ai utilisé en majorité des chevilles à frapper et quelques « type Molly » en complément. J’ai commencé par le tasseaux du fond pour être sûr d’être bien au-dessus du robinet d’arrivée d’eau du lave-linge, puis j’ai réglé au niveau les murs latéraux…et je me suis rendu compte que mon podium au-dessous suit le sol et n’est donc pas de niveau !

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De nouveau j’ai posé un tapis amortisseur recyclé sous le sèche-linge. Il est heureusement moins lourd, mais le lever à bout de bras à environ un mètre de hauteur, a demandé quand même un certain effort au fils de Mme Recrafteuse (qui avait eu une journée pour se remettre du lave-linge !).

 SL_et_LL_en_place

Comme d’habitude, vos commentaires, suggestions et liens vers vos blogs sont les bienvenus !

18 septembre 2012

Recrafteur le retour...les vis A4

Certains d'entre vous se demandent où je suis passé, pourquoi je ne publie rien depuis quelques temps.

Le fait est que mon vrai travail, et des travaux de rénovation et de décoration m'ont un peu éloigné de ce blog.

Je reprends donc la plume virtuelle pour vous parler de vis. Bonne lecture !


J’ai donc décidé de vous parler aujourd’hui plus d’un bricolage que d’un recraft.

En fait, je suis parti d’une constatation qu’ont du faire de nombreux bricoleurs : les têtes de vis s’usent. Même les cruciformes. Même en inox.

J’ai du démonter quatre lames de terrasse en pin pour accéder à un puisard, et ce faisant, j’ai abimé deux vis, dont une que j’ai dû retirer à la pince.

20120918_163951

On a du mal à croire que c'était une tête cruciforme au départ...

Que faire pour cette trappe qui, forcément, va devoir être ouverte régulièrement ? Et donc potentiellement 16 vis qui vont en prendre plein la tête…

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Ce clin d'oeil est un peu élitiste puisque seuls les Catalans auront compris...J'ai souvent traversé ce fleuve (alors qu'il n'est encore qu'un torrent) cet été dans les Pyrénnées Orientales...il nous a bien fait rire Mme Recrafteuse et moi. On est de grands enfants.

Mon père, et d’autres bricoleurs, m’avaient parlé des vis en étoile (j’ai appris qu’elles s’appelaient A4 en réalité) qui sont de plus en plus utilisées et qui ont l’avantage de mieux résister aux vissages et dévissages, vu que la visseuse ne dérape pas dans la tête de vis.

Je suis donc allé dans mon LM local. Le choix est assez restreint en A4 inox, mais les 5 x 40 que j’ai achetées conviennent parfaitement à mon besoin.

Voici les photos.


J’espère que ce billet vous aura aidé, si vous avez le même problème, et j’attends donc vos commentaires.

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7 mars 2012

Une desserte à roulettes

La nature a horreur du vide…et notre cuisine ne fait pas exception !

Quand nous avons (péniblement, étant donné la fainéantise patente des livreurs) installé notre frigo américain à droite de notre cuisinière, il restait une vingtaine de centimètres entre cette dernière et ce bijou de technologie coréenne. Le projet avait germé de fabriquer une desserte à roulette…et puis il était finalement passé au bas de la pile, incapable de lutter face à des projets plus urgents.

Et puis, lors d’une flânerie sur Leboncoin, Mme Recrafteuse a découvert une annonce pour cette desserte qui avait les bonnes dimensions :

3_4 gauche

Mais là, c’est le drame…

Si la desserte fait bien les dimensions annoncées, l’espace s’avère finalement trop étroit de 5 mm, et évidemment, pas question de risquer de rayer le frigo ou la gazinière en forçant. Le but est quand même de pouvoir ranger diverses choses dans le meuble, et non de sortir le pied de biche et le maillet à chaque utilisation ! Nous devons rejeter rapidement les possibilités de modification de la desserte (des barres de retenue métalliques empêchent de raboter les côtés) ou de la configuration (la cuisinière comme le frigo sont déjà écartés au maximum). Et tant qu’à travailler, autant que ce soit pour faire une desserte sur mesure, un peu plus longue.

Le projet de desserte sur mesure ressort donc du dessous de la pile. Et la desserte achetée servira donc de modèle, avant d’être revendue.

Étant d’une génération qui utilise des expressions telles que « battre le fer quand il est chaud », je prends aussitôt les mesures, et fais une fiche de débit avant d’aller à l’enseigne verte et noire près de chez moi.

Fiche_de_d_bit

On opte pour du médium neuf, au détriment du bois de récup qui n’aurait pas été aussi facile et rapide à travailler.

Les panneaux étant à dimension, la première opération sera de tracer l’emplacement des 4 étagères (3 + tablette supérieure) afin de pratiquer les logements des futures barres de maintien, dont je parle plus bas. La défonceuse étant un peu surdimensionnée, j’ai opté pour la défonceuse Dremmel. J’ai finalement travaillé à plat pour que la partie arrondie du trou soit cachée.

D_fonceuse_Dremmel

Logement





Ne voulant pas faire de trou en façade, pour l’esthétique, j’ai décidé de fixer les 4 tablettes avec de petites équerres. J’ai pensé qu’il serait plus facile de visser d’abord les équerres sur les tablettes (et non sur la face interne de la façade) étant donné la longueur de la visseuse. Pour les positionner toujours au même endroit, j’ai utilisé un morceau de tasseau comme gabarit (même si en fin de compte, les équerres seront cachées à l’intérieur !)

_querres

Puis j’ai vissé les 4 roulettes (diamètre 30 mm) qui seront quasiment invisibles une fois le montage terminé, sur la tablette du bas.

roulettes

roulettes_fa_ade

Ensuite, au tour des tablettes sur la façade, avec l’aide précieuse de Mme Recrafteuse. Les 3 tablettes supérieures reposent sur les équerres, tandis que la tablette du bas est suspendue. J’ai renforcé le tout avec du mastic colle universel, vu que c’est un meuble qui sera manipulé fréquemment.

Assemblage

 

Pour fixer les tablettes dans le montant arrière, je vais visser à travers et coller au mastic colle.

P2180859

Pour l’esthétique, j’ai fraisé les trous des vis.

P2180852P2180856

 

 

 

 

 

Et voilà la desserte terminée :

P2180860

J’ai ensuite percé les trous de la poignée et fixé celle-ci. Avec une rondelle, car la tige était un peu longue.

P2180866

Le modèle original comportait des barres métalliques, sortes de « rambardes » évitant aux divers objets de tomber de la desserte quand elle roule. Un petit couvre-joint fera l’affaire. Je coupe donc mes « barrières » à dimension. Puis je les ai identifiées. Suite à un manque de communication avec Mme Recrafteuse, qui a réalisé toutes les peintures, les marques ont été recouvertes de peinture…mais en fait de compte, cela n’a pas porté à conséquence.

P2180867





Mme Recrafteuse a sorti rouleaux et pinceaux pour sous-coucher l’ensemble.

P2180836__2_ P2180835__2_

Le lendemain elle a passé les 2 couches définitives (Luxens blanc blanc satiné de Leroy Merlin). Les baguettes ont été peintes, puis collées en place au mastic colle.

Et voilà le résultat final en place :

 

Bien entendu, vos commentaires sont les bienvenus, et si, vous aussi, vous avez réalisé un petit meuble, mettez les références en commentaire et je ferai un edit.

22 février 2012

Les blogueurs se mobilisent pour les Restos du Cœur 2012

Et oui, cette année encore, le blog de Recrafteur se mobilise pour les Restos du Coeur.

Alors que vous soyez blogeur ou blogueuse, ou simple citoyen concerné, vous pouvez agir, avec les sponsors Danone et Carrefour pour faire un don, ou pour qu'ils offrent des repas.

Toutes les infos en cliquant ici

Restos2012


On compte sur vous !


2 février 2012

Neutralisez le carbone de votre blog, gratuitement et simplement !

co2-klimakiller Pour sauver des milliers d’arbres, l’opération Blog zéro Carbone propose une grande opération de reboisement par et pour la blogosphère. En collaboration avec I plant a tree, nous pouvons compenser les émissions de CO2 de notre blog en leur demandant de planter un arbre.

Comment faire ? C'est très simple : vous écrivez un article sur votre blog, vous insérer un logo dans votre bandeau de droite ou de gauche, vous leur envoyez un email pour dire que c'est fait et ils plantent un arbre pour vous.

Pour télécharger le code du logo et lire les modalités sur leur site, cliquez sur le gros bouton vert ci-dessous (il est assez gros, ça va ?).

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4 janvier 2012

Un lisseur qui change la vie

NB : ce billet n'est pas une publicité rémunérée

Si vous n'avez jamais pesté en vous débattant avec un joint silicone, ce billet ne vous intéressera pas.

Par contre, si vous avez connu les affres du joint qui dégouline, qui est soit trop épais soit trop mince, qui gondole, qui fait des paquets...enfin vous voyez le topo ! 

Donc si vous êtes dans ce cas-là, vous serez interessé par ce qui se rapproche de l'outil idéal pour ce travail, et que Mme Recrafteuse m'a acheté :

P1030835

Il s'agit d'un lisseur avec un embout interchangeable (pour faire toutes les épaisseurs de joints). Avec lui, plus de problème, le joint est régulier, il suffit de le tremper dans l'eau régulièrement et de le faire coulisser sur le joint de silicone déposé avec le pistolet habituel. Les cotés de l'embout permette également de racler l'excédent éventuel.

Il marche également bien pour les joints de carrelage en pâte. (Je ferai prochainement un billet, même si cela sort un peu de l'objectif de ce blog...)

L'autre extrémité est doté d'une lame intérieure pour ouvrir les opercules de cartouche ou découper la buse au bon diamètre (beaucoup plus sûr que le cutter habituel). Le manche se terminant en raclette est aussi pratique pour enlever l'excès de silicone après séchage.

Quant à son compagnon l'extracteur, vendu avec, je ne l'ai pas encore testé. Je ferai un édit sur ce billet. A suivre donc !

4 janvier 2012

Mon beau sapin...

Puisque c’est le premier billet de l’année, laissez-moi vous souhaiter, cher lecteur assidu, ou de passage,

une bonne année 2012.

Qu’elle vous apporte tout ce que vous désirez, que ce soit personnel ou professionnel. Et je nous souhaite encore plus de protection de la planète, de recyclage, et de recraft !

Comme l’indique le titre (qui est d’ailleurs fait un peu pour ça quand même), je vais vous parler de notre sapin de Noël 2011.
Mme Recrafteuse et moi n’avions pas trop envie de ressortir de la cave le sapin artificiel (par ailleurs plutôt joli pour un artificiel), pas très motivés non plus pour faire une nouvelle tête au sapin en médium de l’année dernière…

Sapin 2010

Donc en regardant les blogs de déco, pratiquement sans se concerter, on est tombé sur des choses comme ça :

 

Voulant faire un sapin en 3D plutôt que le type à poser contre un mur, nous sommes partis sur le type «empilement de planche sur un axe ».

La première étape a été de déterminer les dimensions qui nous convenaient (environ 70 x 70 cm d’encombrement à la base pour 1 m de haut). Et donc début décembre, j’ai profité de la douceur de la météo pour tracer à la craie la forme triangulaire sur la table du jardin. Cela m’a donné à la fois la quantité de planches nécessaires et leurs dimensions.

Pile de planches

Pour l’harmonie et le réalisme (bon, c’est quand même un sapin en planches !), j’ai réservé les planches les plus larges et les plus épaisses pour les « branches » du bas, et préféré des planches plus étroites et plus minces pour la cime. Pour info, il s’agit de bois de palettes récupéré.

La pointe m’est apparue tout à coup comme une évidence pour terminer la cime, et comme vous le verrez dans le résultat final, elle a vraiment sa place pour visuellement finir la forme conique/triangulaire (les puristes me pardonneront mon utilisation approximative des formes géométriques, mais je suis un littéraire de formation…).

Pointe

Mme Recrafteuse, toujours de bon conseil, m’a suggéré de placer entre chaque planche une entretoise faite d’un manche à balai de gros diamètre. Scie radiale et perceuse sur colonne ont rendu le travail vraiment plus facile.

Découpe entretoises Perçage entretoise

Une fois les planches poncées, il ne restait « plus qu’à » assembler le tout grâce à une tige filetée (dimension 1 m, achetée neuve à l’ancienne verte et noire). Chaque planche est donc percée au centre à un diamètre légèrement supérieur à la tige. J’ai préféré avoir un peu de jeu pour pouvoir orienter les planches pour le côté esthétique, pour donner du volume au sapin, et aussi pour le côté pratique, à savoir pouvoir replier le sapin à plat pour le stockage le reste de l’année.        

Branches repliées  

Pour la stabilité, j’ai opté pour un pied en croix, avec assemblage à mi-bois (merci la défonceuse).

Dessous pied

Malgré tout, la tige filetée reste souple. Mais après tout, un sapin naturel est souple aussi, et pas forcément droit comme un i ! Le résultat s’est un peu amélioré en ajoutant un boulon au dessus du pied, et en haut de l’arbre, juste sous la pointe. J’ai d’ailleurs percé la pointe plus profondément afin qu’elle tienne mieux sur la tige filetée, elle-même coupée à la bonne longueur.

 

 

 

  

Puis vient l’étape d’orientation des branches, et différents essais pour que l’ensemble soit harmonieux.

Bas du sapin orientation branches

Et finalement, la décoration. Cette année, il s’agissait d’un mélange de boules du commerce (colées au pistolet à colle), d’un « Christmas stocking » reçu en cadeau par Mme Recrafteuse, et de décorations en feutrine fabriquées par Mme Recrafteuse (la plupart, et toutes les finitions cousues) et moi (le petit chalet) le jour même. Même si je suis forcément partial, je les trouve très réussies, et bien dans le thème Noël vintage.

 

J’attends donc vos commentaires, suggestions, astuces et surtout, si vous aussi vous avez fabriqué votre sapin, ou si vous en avez vu un sur un blog qui est particulièrement réussi, je suis très intéressé de voir cela !

 

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